Les 10 tendances du management pour 2021 !

Les 10 tendances du management pour 2021 !
Anne Sebban

À quoi pensez-vous lorsque l’on vous annonce « les tendances 2021 en management » ?

  • Au télétravail ? Certes, c’est un raz de marée ! Mais bien manager le télétravail, c’est d’abord appliquer les fondamentaux du management opérationnel des hommes et des équipes à adapter à distance. Car le télétravail, ne véhicule pas, à lui seul, un changement de culture managériale.
  • Au Lean management ? Il est né chez Toyota en… 1950. Ses apports ont été surtout visibles en usine : des îlots de production, plutôt qu’une chaîne. Le Lean édictait également des changements managériaux : le respect, le travail d’équipe, le développement de l’autonomie, la motivation, et l’amélioration continue. Le partage d’un but, de projets et de règles de fonctionnement. Des concepts essentiels, mais difficile de qualifier le Lean de tendance 2021 !

En revanche, « L’agilité n’est plus un slogan » ! C’est ce que démontre M.N. SINAPIN (chercheuse au LITEM-LABORATOIRE EN INNOVATION, TECHNOLOGIES, ÉCONOMIE & MANAGEMENT). Car les organisations doivent évoluer vite et dans un contexte grandissant d’incertitude.

La plupart des tendances management 2021 s’inscrivent dans cette recherche de rapidité, et il est vrai que le télétravail accélère les besoins d’agilité, et que l’on retrouve du Lean dans l’agilité.

Mais le prisme de tous les changements en 2021 sera bien celui de l’agilité. Qu’est-ce que l’agilité ? C’est ce que nous allons voir dans un premier temps. Et, dans second temps, nous zoomerons sur chacune des 10 tendances de management 2021 qui en découlent : Leardership serviteur, Design thinking, Soft Skills, pratiques collaboratives…

L’agilité : le prisme de toutes les tendances management 2021.

Quelle est la définition de l’agilité dans les entreprises ? 

L’agilité est la capacité des entreprises à s’adapter rapidement et efficacement à des changements permanents et de plus en plus rapides. Il s’agit d’adapter un modèle de prise de décision en contexte mouvant que l’on qualifie de VICA (acronyme signifiant volatil, incertain, complexe et ambigu).

Microsoft a été la première entreprise à s’autoproclamer « agile ». IBM et Google ont suivi rapidement. Ainsi, créées par le monde informatique, les pratiques agiles ont pour priorité la satisfaction du client en livrant rapidement des solutions à valeur ajoutée dans un contexte VICA.

Les conseils pour réussir vos NAO 2024

Chaque année, les entreprises doivent organiser les NAO. Une tâche sensible pour les Ressources Humaines qui ont un rôle important à jouer. Retrouvez dans cette fiche pratique tous les conseils pour vous aider à préparer ce temps fort ! Cette fiche pratique vous est proposée par notre partenaire Up Coop.

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L’agilité en 4 valeurs dans le manifeste agile.

Selon A.COCKBURN (auteur a succès dans le domaine de l’informatique) : “En ingénierie logicielle, les pratiques agiles mettent en avant la collaboration entre des équipes autoorganisées et pluridisciplinaires et leurs clients”.

Le Manifeste pour le développement agile de logiciels, rédigé par 17 experts en développement dans les années 2000, énonce quatre éléments à valoriser : les individus et leurs interactions plus que les processus et les outils, des logiciels opérationnels plus qu’une documentation exhaustive, la collaboration avec les clients plus que la négociation contractuelle, l’adaptation au changement plus que le suivi d’un plan. 

Depuis, les méthodes de travail répondant à ces valeurs sont qualifiées « d’agiles ».

L’agilité en 12 principes pour tous les secteurs d’activités.

Toujours dans le manifeste agile, 12 principes d’agilité sont adaptables au management de tous types d’entreprises :

  1. Prioriser la satisfaction client en s’adaptant rapidement à l’évolution de la demande et en livrant toujours des produits à haute valeur ajoutée.
  2. Accueillir positivement le changement de besoin des clients. Il est une opportunité de lui fournir de nouvelles solutions, présentant des avantages compétitifs.
  3. Confronter régulièrement les avancées des innovations à la demande du marché : cycles de développement court, tester, faire de petits pas dans l’innovation plutôt qu’un grand bond qui demande plus de temps et pourrait ne plus correspondre à la demande du marché à sa sortie.
  4. Livrer des avancées opérationnelles progressives dans les projets (plutôt que l’atteinte de jalons théoriques).
  5. Réaliser des projets en équipe avec des personnes motivées, dans la confiance.
  6. Travailler en équipe quotidiennement (ce qui signifie se mettre autour d’une table et réfléchir à plusieurs, et non pas s’interrompre sans cesse sans prendre le temps de réfléchir !).
  7. Privilégiez l’échange en face à face.
  8. Travailler dans un rythme constant, mais soutenable, il ne doit pas y avoir d’épuisement, sinon c’est qu’il n’y a pas d’agilité.
  9. Visez l’excellence technique.
  10. Éviter le travail inutile, faire « simple », si le projet est énorme, divisez-le en sous-projets atteignables.
  11. Viser l’auto-organisation des équipes, ce sont elles qui sont à même de trouver les meilleures solutions et l’auto-organisation fait gagner du temps.
  12. Amener les équipes à travailler régulièrement sur « comment continuer à améliorer notre travail d’équipe ? » et à évaluer leur fonctionnement. 

Quels sont les outils de l’agilité dans les entreprises hors informatique ? 

L’informatique possède donc ses méthodes agiles de gestion de projet (Scrum, eXtreme Programming…). Mais pour les autres secteurs, où trouver les outils d’un management agile ? Hé bien il n’y en a pas ! En dehors du secteur informatique, il n’existe pas de consensus sur les outils agiles.

Toutefois, compte tenu des travaux M.N SINAPIN (dont sont issues les citations), et en me basant sur mes propres expériences de consultante-formatrice, voici les pratiques rencontrées sur le terrain.

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10 tendances management 2021.  

#Tendance n°1 : Le management démocratique pour créer les conditions de l’agilité.

Dans le management démocratique, au lieu de prendre ses décisions seul, le manager implique ses collaborateurs chaque fois que possible. Dans ce contexte, la participation est encouragée notamment grâce à des méthodes de travail consultatives.

La posture de leader démocratique n’est pas nouvelle (grille de style de leadership 1964). Ce qui est nouveau c’est la consultation, autant que faire se peut, des collaborateurs par le management le plus souvent possible, y compris au plus haut niveau de décision. Ces leaders bénéficient ainsi de l’intelligence collective même dans leurs choix stratégiques.

Un manager déclare « Les collaborateurs sont impliqués dans le processus […] décisionnel via les conditions créées par les entreprises agiles (réunion de partage d’expériences, séminaires, enquêtes, lean management, switch lab. hackathons..) et dont le but est d’échanger des idées d’amélioration d’un process, de développer l’apprentissage réciproque et de remonter les informations aux managers ».  

#Tendance n°2 : Le leadership serviteur pour favoriser l’autonomie.

Dans les entreprises innovantes le manager “petit chef ” n’a plus de place ! Les résultats positifs du leadership serviteur ont été évalués dans des environnements très variés, par exemple “des vendeurs de voitures en Afrique du Sud, des employés d’organisations religieuses au Ghana et aux États-Unis, des fonctionnaires aux États-Unis ou encore des enseignants en Turquie.”

Le leader serviteur est le pendant naturel du management démocratique. Selon R. GREENLEAF (fondateur du mouvement) : «  Le grand leader est d’abord perçu comme un serviteur […]. Un nouveau principe moral émerge selon lequel la seule autorité méritant la loyauté est celle qui est accordée librement et en connaissance de cause au dirigeant par le dirigé […] les seules institutions vraiment viables seront celles qui seront essentiellement conduites par des serviteurs. » 

J.LECOMTE (docteur en psychologie) dans son best-seller « Les entreprises humanistes, comment elles vont changer le monde » démontre l’intérêt d’une entreprise gérée par des leaders serviteurs, qui savent se montrer respectueux des personnes et de l’environnement. La finalité est véritablement le bien-être matériel et relationnel, et les fondamentaux sont l’authenticité et la sincérité pour travailler en confiance, ce qui est une condition de l’ouverture.

#Tendance n°3 : L’AFEST (Action de formation en situation de Travail) pour adapter les compétences.

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Pour les managers des entreprises « agiles », le développement des compétences est primordial pour faire face aux évolutions technologiques et organisationnelles. Les RRH (Responsables des ressources humaines) doivent assurer par la formation continue “le degré de cohérence avec l’évolution des postes et les stratégies de l’entreprise ». 

L’AFEST (Action de Formation en Situation de Travail) est désormais reconnue comme une action de formation à part entière, au même titre qu’une formation à distance, ou une formation présentielle.  Elle s’imposera comme un outil clé du management par les compétences en 2021.

L’AFEST développe la confiance entre le manager et son collaborateur apprenant. L’expérimentation initiale des OPCO montre que “Lorsque le manager devient formateur, une autre relation se construit entre le managé et lui. Ici se construit un dialogue professionnel autour du travail, et non plus seulement dans un dialogue hiérarchique basé sur des consignes. Grâce à la réflexivité, il y a discussion sur un objet commun, le travail et l’acquisition de compétences pour y faire face”

L’AFEST est la réponse idéale lorsque vous souhaitez faire acquérir des compétences spécifiques à votre entreprise. Elle peut cibler tous les publics et secteurs d’activité. En voici quelques exemples d’AFEST : 

  • Une entreprise de téléprospection qui souhaite former ses responsables de plateaux selon le référentiel du titre professionnel “manager de la relation client à distance” en leur déléguant des tâches progressivement plutôt que de leur faire suivre une formation trop théorique…
  • Un site devant améliorer en continu ses pratiques d’embouteillage compte tenu des évolutions des normes (hygiène d’agroalimentaire, Qualité, RSE..). Certaines actions de formation seront désormais construites en AFEST pour en améliorer l’impact auprès des opérateurs.
  • Une société en pleine expansion spécialisée dans le financement des équipements générant des économies d’énergie qui recrute des commerciaux qu’elle doit former rapidement à un diagnostic technique bien spécifique.
  • Une entreprise de remorquage qui n’arrive pas à recruter les dispatcheurs expérimentés (organisateurs de transport) dont elle a besoin, ce qui bloque son développement. Elle va faire évoluer des personnes en interne et les former en AFEST.
  • Une directrice dans l’action sociale qui souhaite former trois de ses nouveaux travailleurs sociaux à des pratiques internes d’accompagnement développées par sa structure… 

Comment construire une AFEST ? Cela commence par l’analyse du travail réel avec les experts internes. Puis il s’agit de bâtir un parcours pédagogique pour former sur le terrain, en situation de travail.

Pour monter le projet AFEST, il est souhaitable d’être accompagné par un organisme de formation qui maîtrise cette modalité. Comment financer l’AFEST ? Il y a plusieurs façons de le faire. Et le retour sur investissement est évident. Car vos collaborateurs sont beaucoup plus rapidement efficaces qu’une simple formation sur le tas !

Venez en formation AFEST, nous répondrons à toutes vos questions.

#Tendance n°4 : L’entreprise étendue pour bénéficier d’experts multiples.

Pour répondre à la course à l’innovation, les entreprises vont également chercher de nouvelles compétences en dehors de leurs murs.

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On pourrait donc définir l’entreprise étendue comme un groupe d’entreprises ou d’indépendants collaborant à un même projet. Ainsi les managers collaborent avec de nombreuses personnes extérieures.

Les clients, les fournisseurs, les anciens collaborateurs, les sous-traitants… peuvent participer aux projets de l’entreprise. Le but étant d’aller plus vite et de bénéficier d’expertises multiples et de regard croisés. 

Bien sûr les pratiques collaboratives soutiennent cette ouverture vers l’extérieur.

#Tendance n°5 : Les pratiques collaboratives pour accélérer l’innovation.

Nous l’avons vu, la structure hiérarchique classique ralentit l’innovation. Ainsi une partie du travail s’effectue de plus en plus en réseau. Dans ce cadre, les pratiques collaboratives, promulguées à la fois par l’offre proposée par les applications (Teams pour Microsoft, G Suite pour Google et bien d’autres…) et par le télétravail, permettent un meilleur partage des connaissances et une innovation plus rapide. 

Pour en savoir plus, rendez-vous dans notre article « Management collaboratif : 10 bonnes pratiques pour le mettre en place ». 

#Tendance N°6 : La gestion du temps pour une course à la vitesse raisonnée.

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Savez-vous que le tribunal de Paris a condamné en 2019 trois dirigeants de France Télécom (PDG, DG, DRH) ? En fait, les juges ont estimé que la course à la vitesse s’assimile à une forme de harcèlement moral. Le journal Le Monde a commenté cette décision : « les dirigeants veulent aller vite, sans toujours penser à l’indispensable accompagnement de ces très rudes changements sur le plan collectif, mais aussi individuel […] » 

À la maison comme au travail, les managers, les cadres, sont interrompus en permanence. Trop d’informations arrivent, et trop vite. Avec l’hyperconnexion la concentration est impossible ! Et l’épuisement (burn-out) est au RDV. 

C’est sans doute pourquoi le mot procrastination (l’art de remettre au lendemain les tâches importantes mais pas urgentes) fait partie des plus recherchés sur Google en 2020 ! Des millions de personnes se questionnent sur la gestion du temps.

Comment y remédier ? Une formation à la prévention des RPS est souvent insuffisante car il revient aux managers de proximité de trouver des solutions. La prévention nécessite en premier lieu le soutien de la direction et d’un RRH investi. Et nous vous conseillons d’acquérir les bonnes pratiques en matière de gestion du temps. En vue de retrouver du sens et de modifier les comportements collectifs et individuels.  

# Tendance n°7 : Le Design Thinking pour développer la créativité.

La créativité au sein des entreprises agiles est une façon d’être à part entière. Car l’accent est mis sur l’adaptation de l’offre aux besoins des clients, et à l’évolution des produits/services pour conserver ses parts de marché et saisir de nouvelles opportunités.

Dans ce contexte, le modèle de Design Thinking, D-School a le vent en poupe. Conceptualisé par l’université de Stanford, il comprend cinq étapes pour innover : 

  • « La première étape (empathize) consiste à interviewer les clients pour se mettre en adéquation avec leurs attentes.
  • Définir le projet (define) .
  • Cadrer le problème pour l’équipe de réalisation et générer des idées (ideate).
  • Suivre de la réalisation d’un premier prototype, (prototype) qui permet d’explorer des options possibles.
  • Une fois le prototype stabilisé, mener la phase d’expérimentation (test). » 

Parallèlement à cette démarche structurée, le Design Thinking propose de nombreux outils pour favoriser la créativité : 

  • adopter l’état d’esprit du débutant,
  • faire un photoreportage utilisateur, 
  • interviewer des utilisateurs extrêmes,
  • partager des histoires, 
  • cartographier un parcours utilisateur, 
  • utiliser un persona, c’est-à-dire une personne qui incarne les caractéristiques de vos utilisateurs… 

Notons que ces techniques créatives sont utiles à l’innovation. Pour développer la créativité dans les équipes de travail qui ne sont pas dédiées au développement, assurez-vous avant tout que les fondamentaux du management soient au préalable solides… ou consolidez-les avec une formation management. Elle inclura des méthodes efficaces de recherches d’idées (brainstorming, co-développement, faire “comme si”…) .

# Tendance n°8 : Les Soft Skills pour bien travailler en équipe.

Soft Skills cela signifie « compétences comportementales ». D’après la dernière étude Cadremploi/Michael Page publiée à ce sujet, 62 % des entreprises sont aujourd’hui prêtes à recruter principalement sur la base Soft Skills des candidats. Dans son rapport « Future of Work », le World Economic Forum liste les Soft Skills les plus recherchées par les entreprises : 

  • « La résolution de problèmes complexes. 
  • L’esprit critique.  
  • La créativité. 
  • Le management. 
  • L’esprit d’équipe. 
  • Le jugement et la prise de décision. 
  • Le sens du service. 
  • La négociation. 
  • La flexibilité. 
  • L’intelligence émotionnelle, compétence douce qui fait la différence. 

En effet, il faut une bonne intelligence émotionnelle pour savoir tirer profit de la variété des points de vue, et les confronter dans un état d’esprit constructif sans que cela ne conduise à la fuite ou à l’agressivité.

Cet état d’esprit est fondamental pour s’inscrire dans l’agilité ! Alors qu’il n’existe en France aucune éducation aux émotions. La plupart des personnes ne savent d’ailleurs pas les définir. Alors qu’elles sont à la base du bon « gouvernement de soi », ce qui est indispensable à l’intelligence relationnelle. 

#Tendance n°9 : L’intéressement et la participation pour motiver efficacement les collaborateurs. 

Vous le savez peut-être, les primes sont sujettes à des comportements individualistes et des études démontrent qu’elles diminuent souvent la motivation intrinsèque ! (La motivation autodéterminée qui nous fait faire les choses parce que tout simplement on aime les faire). 

Fortes de ce constat, les entreprises agiles utilisent l’intéressement et la participation. “Le principe consiste à verser à chaque salarié une prime liée à la performance de l’entreprise (intéressement) ou représentant une quote-part de ses bénéfices (participation).” (Source : droit du travail). Ainsi, chaque collaborateur perçoit, au sens propre comme au figuré, sa contribution au travail réalisé. 

Outre les avantages sociaux liés à une rémunération plus équitable entre les collaborateurs, ces dispositifs offrent des avantages fiscaux pour les employeurs et pour les employés. Alors entreprises, foncez ! 

À lire également :

#Tendance n°10 : La RSE pour répondre aux attentes des clients et des salariés.

La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises, ou Responsabilité Sociétale des Entreprises) regroupe l’ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable, c’est-à-dire être économiquement viable, avoir un impact positif sur la société mais aussi mieux respecter l’environnement ” (youmatter.world.)

Avec la RSE, l’entreprise est gagnante au niveau de sa réputation auprès de ses clients et ses prospects. Et en prenant soin du développement et de l’épanouissement de ses salariés, leur motivation en est renforcée.

En mettant en œuvre la RSE avec la norme correspondante ISO 26000, l’entreprise agile va donc chercher à avoir un impact positif sur la société. La RSE se construit autour de 7 questions : la gouvernance, les droits de l’Homme, les relations et les conditions de travail, l’environnement, la loyauté dans les pratiques, les questions relatives aux consommateurs, les communautés et développement local.

Enfin, nous avons évoqué le sujet dans notre article sur le « Management de la génération Y » ,pour les jeunes les valeurs d’une entreprise sont primordiales ; le RSE permet donc de faciliter l’embauche des talents ! Le journal LE POINT publie chaque année le palmarès des entreprises RSE. Son constat : “Les grandes entreprises deviennent sérieuses. C’est le constat général qui ressort de notre tout premier palmarès RSE“.

Une bonne nouvelle pour entamer l’année 2021 motivés ! 🚀

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Anne Sebban

Anne SEBBAN est formatrice consultante et fondatrice de l’organisme de formation Asformationpaca.fr. Elle accompagne depuis plus de 10 ans les managers de tous secteurs d’activité ainsi que des commerciaux BtoB en leur apportant formation, coaching, entraînements et feed-back constructifs.