Le poste idéal ? Du sens, de l’équilibre et de l’hybridation !
Une étude menée par Fed Group auprès de 2 600 candidats révèle des attentes claires pour le poste idéal.
Premier constat : 86 % des professionnels, surtout dans le BTP et l’immobilier, exigent que leur travail ait du sens. Ce critère, en tête pour tous secteurs confondus, dépasse la simple mission pour englober des valeurs alignées avec celles de l’entreprise.
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Je télécharge gratuitementL’équilibre vie professionnelle-vie privée est le deuxième pilier pour un poste attractif. La flexibilité reste cruciale : 74 % des candidats imaginent un rythme idéal de travail hybride, avec 50 % de télétravail. Actuellement, 82 % disposent de cette option, ce qui confirme la place du télétravail dans l’avenir du travail. Dans le domaine de l’IT, 62 % considèrent même les conditions flexibles comme plus essentielles que la localisation de l’entreprise.
L’hybridation pose toutefois des défis. Pour 60 % des répondants, notamment en marketing et communication, le télétravail doit préserver la cohésion d’équipe et le sentiment d’appartenance. En effet, 68 % de ces professionnels estiment la cohésion essentielle pour travailler efficacement à distance.
Autre défi majeur : l’accompagnement à distance, surtout en période difficile, cité en priorité par les professionnels du juridique et de la finance.
Enfin, la semaine de quatre jours séduit massivement : 81 % des candidats souhaitent sa généralisation, mais seuls 6 % y ont actuellement accès.
Ce format est associé à une meilleure productivité et à un équilibre renforcé entre vie personnelle et professionnelle, soulignant l’évolution des attentes vers plus de sens, de flexibilité et d’équilibre dans le poste idéal.
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Mais de l’humain avant tout !
Bien que le télétravail et l’hybridation soient de plus en plus ancrés dans la culture professionnelle, l’humain demeure au cœur des attentes des collaborateurs.
D’après l’étude menée par Fed Group, 60 % des salariés estiment que le présentiel reste essentiel pour créer du lien et favoriser des échanges informels. Cette dimension humaine du travail s’avère aussi précieuse que l’autonomie et la flexibilité qu’offre le travail hybride.
Les moments de rencontre en personne sont également très appréciés dans les processus de recrutement et de formation. Près de 78 % des candidats préfèrent les entretiens physiques, qu’ils considèrent comme une expérience plus authentique.
Pour 73 % des répondants, les formations sont également mieux perçues en présentiel, et cela vaut pour tous les secteurs d’activité. Les interactions humaines directes semblent donc jouer un rôle décisif pour engager les collaborateurs et renforcer leur sentiment d’appartenance.
Certains secteurs explorent des formats plus dynamiques pour l’expérience candidat. Par exemple, les professionnels de l’assistanat, du BTP, de la finance et de la supply chain sont intéressés par des initiatives comme le speed recruiting.
D’autres, en particulier dans les RH, l’IT et le marketing, se montrent séduits par les serious games, qui ajoutent une dimension ludique à l’évaluation des compétences.
Le management se trouve aussi en pleine mutation. L’étude souligne une demande forte pour des managers à l’écoute, bienveillants et disponibles. Pour 80 % des collaborateurs, un management de proximité et de confiance est essentiel.
Des qualités telles que la communication, la participation, et l’autonomie sont attendues chez les managers, en particulier dans des secteurs comme l’industrie et le marketing où 52 % et 48 % des répondants respectivement souhaitent des objectifs réalistes.
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