Pour valoriser une marque employeur cohérente et consistante, il est important que celle-ci soit du même niveau de richesse tout au long de son lieu et de sa durée d’exercice. À savoir : de la première expérience candidat à celle, par nature plus mûrie et plus exercée, du collaborateur.
Entretien annuel : posez les bonnes questions !
Rituel managérial attendu par certains collaborateurs (58%) mais redouté par d’autres (41%) : la période des entretiens annuels approche à grands pas. Il est temps de remettre à jour la trame utilisée pour tirer le meilleur parti de cet échange privilégié. Afin de vous aider, Javelo by Tellent vous propose une liste de 180 questions pour vos entretiens et évaluations - Ce guide, à télécharger gratuitement, vous est proposé par notre partenaire Tellent.
Je télécharge le guideCet alignement est la garantie de la satisfaction des collaborateurs : leurs attentes ont été suscitées par une belle expérience de candidature, et celles-ci doivent maintenant se concrétiser dans leur vie de collaborateurs au sein de votre entreprise !
La QVT, socle de l’expérience collaborateur.
L’expérience collaborateur regroupe l’ensemble des interactions vécues par le salarié durant tout son parcours au sein de l’entreprise.
Pour travailler positivement cette expérience, il faut donc agir sur les étapes clés, les principaux moments de sa vie de collaborateur : de l’intégration, c’est-à-dire le « pré » et « on-boarding », puis tout au long de son évolution dans l’entreprise dans un environnement de travail adapté et à l’écoute, et jusqu’à son départ avec « l’off-boarding ».
L’expérience pouvant même se poursuivre au-delà du départ du salarié avec, par exemple, la mise en place de réseau d’anciens/d’alumni.
“73% des salariés se déclarent satisfaits de leur qualité de vie au travail et 56% estiment que leur entreprise s’occupe de leur bien-être ”
Baromètre santé et qualité de vie au travail 11ème édition Malakoff Médéric Humanis
Ainsi, la Qualité de Vie au Travail (QVT) est inhérente à l’expérience collaborateur, c’est le meilleur moyen de mettre en adéquation : le vécu des collaborateurs, leur bien-être dans le quotidien de travail et les valeurs promues par l’entreprise. Rechercher et promouvoir une marque employeur captive passe donc aussi par le développement et la mise en œuvre d’une bonne QVT. C’est un gage d’attractivité pour les talents, un acte d’engagement qui favorisera la fidélisation des salariés et un investissement durable pour la réputation de l’entreprise.
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Pourquoi et comment mesurer la QVT ?
La qualité de vie au travail est un facteur de compétitivité de poids pour les entreprises, qui peut entraîner un réel coût et une baisse de valeur ajoutée (petit et grand absentéisme, augmentation des Risques Psycho-Sociaux (RPS), du taux de turn-over, problème d’attractivité et de rétention des talents, départ de collaborateurs en période d’essai …).
14 580€ par an et par salarié – c’est le coût moyen du désengagement et de la non-disponibilité”
selon l’IBET©
Selon l’étude IBET© – l’Indice de Bien-Être au Travail – du Groupe APICIL et du cabinet Mozart Consulting, le coût annuel moyen du mal-être au travail s’élève à 14 580€ par an et par salarié en France en 2019.
Premier système de mesure du bien-être au travail, l’IBET est un indice socio-économique évaluant le risque socio-organisationnel au sein d’une entreprise. L’outil permet aux parties prenantes (Direction, managers, RH) d’identifier ce qui peut être observé et mesuré.
Centré sur l’engagement réciproque et la disponibilité des acteurs du travail : le bien-être au travail y est considéré comme un révélateur d’engagement, lui-même révélateur de performance sociale.
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Les collectifs et applications collaboratives.
Pour offrir une Qualité de Vie au Travail de référence, un socle sur lequel l’expérience collaborateur pourra s’appuyer et se solidifier, il vous faudra recueillir le « pouls » de votre entreprise, de votre environnement de travail.
Dans ce cadre, il vous faut donc identifier précisément les forces et les faiblesses de votre QVT, bien comprendre les attentes et les priorités afin de pouvoir déployer un plan d’amélioration global et stratégique qui permettra de mettre en place une politique de QVT durable.
Se pose la question de quel outil ou méthode disposer pour adresser objectivement la QVT, et comment garantir un Retour sur Investissement (ROI) efficace. Il existe de nombreux outils qui vous permettront d’avoir une vision objective de votre entreprise et des besoins de vos collaborateurs. Aussi vous les choisirez en fonction de votre culture d’entreprise, de vos objectifs précis, des moyens et du temps consacrés à cet investissement.
Mesurer, analyser et améliorer le bien-être au travail est une problématique centrale des RH, le digital tenant une place de plus en plus importante dans les process et fonctions RH ; voyons comment il peut venir en appui aux RH dans le domaine de la QVT via des applications collaboratives, de sondages, des questionnaires… sur les postes de travail ou en application mobile !
Dans la quête du bien-être du salarié au travail, l’apparition des technologies « en ligne » représente une nouvelle méthode d’enquête, innovante et surtout collaborative. Elle invite à moindre coût les salariés à contribuer interactivement à leur propre QVT. De contributeurs passifs, ils ont la possibilité de devenir promoteurs, critiques ou acteurs des attentes de la QVT. Sous l’anonymat ou pas, chacun peut participer à cette plateforme d’échanges digitaux, la simplicité d’accès et de consultation étant ici la clé du succès.
Par exemple Zestmeup et Bloom at work sont des applications digitales qui mesurent en temps réel le niveau d’engagement de vos collaborateurs et de vos équipes. On y retrouve différentes fonctionnalités : le recueil de l’humeur et des ressentis à travers des questionnaires personnalisables autour de l’environnement de travail et du management, des “boîtes à idées” pour favoriser l’interactivité et créer une culture du feed-back, une culture d’entreprise collaborative ; et bien sûr des rapports statistiques pour constater et améliorer le niveau d’engagement.
Certaines entreprises et start-up apportent une réelle valeur ajoutée dans le domaine de la qualité de vie au travail et se font labelliser. On pense notamment dans le secteur de la tech à l’écosystème “ HappyTech “, un collectif qui a pour but de fédérer les acteurs qui mettent l’innovation technologique au service du bien-être en entreprise. Ces innovations technologiques vont du développement d’applications mobiles à l’IOT (internet des objets connectés), l’IA – l’intelligence artificielle, la réalité virtuelle/augmentée ou encore aux casques de neurosciences…
L’objectif ? Accompagner les entreprises vers la “happy responsabilité ».
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