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Pourquoi la majorité des pays européens est confrontée à une “fuite des cerveaux”

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5 pays européens sur les 21 de l’étude affichent un score d’intérêt positif

Dans son tout récent rapport sur la mobilité professionnelle en Europe, Indeed a décrypté en détail les flux migratoires professionnels entre les 21 pays d’Europe. Et a alors défini un “score d’intérêt net”, correspondant à la comparaison, pour chaque pays, des candidatures sortantes et entrantes.

Mettant ainsi en évidence une fuite des cerveaux (lorsque plus de personnes sont intéressées par un départ du pays que par une immigration professionnelle dans ce pays), ou au contraire un gain : 

On découvre alors que : 

Des chiffres qui sont conformes aux données sur la migration du travail, qui montrent qu’un cinquième de la population roumaine en âge de travailler réside ailleurs dans l’UE.

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Les pays à fort PIB logiquement les plus attractifs

Selon l’enquête et en toute logique, ce sont les pays à plus fort PIB par habitant qui attirent le plus les demandeurs d’emploi internationaux.

Une corrélation entre PIB par habitant et niveau d’attractivité des pays qui se vérifie cependant moins dans les pays nordiques, qui attirent moins les étrangers.

En se penchant sur son cœur de métier, les offres d’emploi, Indeed a découvert via cette étude que plus le nombre d’offres d’emploi augmentait dans un pays, plus son score d’intérêt net était fort.

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Cependant, une forte croissance des offres d’emploi n’attire pas plus de demandeurs d’emploi venus de l’étranger. Cela incite plutôt les chercheurs d’emploi nationaux à concentrer davantage leurs recherches dans leur propre pays.

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